A la suite de TMLP (2011, les années d'enfances) puis de Temps mort (2008, chronique de la chute sociale), Gilles Rochier replonge dans la chair de son milieu et brosse, avec La petite couronne, le portrait de sa génération, à l'aube de la cinquantaine, de l'expérience plein les poches et toujours plus d'amour dans les yeux, Loin des gros titres anxiogènes des médias et des banlieues qui brûlent, selon certains politiques