SINFONIA AVANTI L'ORATORIO (IL MARTIRIO DI SANTA CATERINA)CHE FAR DEGGIO, O STELLE, CHE ? (GIUNIO BRUTO OVVERO LA CADUTA DE TARQUINI)CREDE L'UOM CH'EGLI RIPOSI (IL TRIONFO DEL TEMPO E DEL DISINGANNO)SONATA (IL TRIONFO DEL TEMPO E DEL DISINGANNO)NAUFRA
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Caractéristique matérielle : 1 CD(69 MIN)
SINFONIA AVANTI L'ORATORIO (IL MARTIRIO DI SANTA CATERINA) - CHE FAR DEGGIO, O STELLE, CHE ? (GIUNIO BRUTO OVVERO LA CADUTA DE TARQUINI) - CREDE L'UOM CH'EGLI RIPOSI (IL TRIONFO DEL TEMPO E DEL DISINGANNO) - SONATA (IL TRIONFO DEL TEMPO E DEL DISINGANNO) - NAUFRAGANDO VA PER L'ONDE (LA RESURREZIONE) - SUITE DE PIÈCES, HWV.434 (PRELUDE) - SONATA, OP. 5/9, LA MAJEUR - STARO NEL MIO BOSCHETTO (IL GIRADINO DI ROSE) - SONATA DE L'OVERTURA (IL TRIONFO DEL TEMPO E DEL DISINGANNO) - SONATA N°1, LA MINEUR - SONATA, K.12 - TRIO SONATA, OP. 2/1, UT MINEUR - BELLA DAMA DI NOME SANTA, Dimension : CD Audio, Nbr de pages : Musical, 1 LIVRET,
Centre d'intérêt :
MUSIQUE VOCALE MUSIQUE DE CHAMBRE MUSIQUE -- 18E SIÈCLE
Résumé :
Après le succès de ses enregistrements en solo, Paolo Zanzu revient à la tête de son nouvel ensemble Le Stagioni avec Officina romana, en collaboration avec le contre-ténor Carlo Vistoli. Au début du XVIIIe siècle, Rome était l'une des grandes capitales de la musique en Europe. En quelques années, Corelli, Haendel, Alessandro et Domenico Scarlatti, Caldara, Cesarini et bien d'autres y ont croisé leur chemin, entourés de peintres, de sculpteurs, de poètes et de philosophes qui comptent parmi les grands noms de l'époque. Fruit d'une longue réflexion et de recherches, l'Officina romana cristallise ce moment unique dans l'histoire de la musique en recréant une soirée musicale idéalisée, une conversazione, sorte de rencontre libérale de notables dans le palais d'un cardinal romain, avec un programme mêlant musique vocale et instrumentale en formation orchestrale et chambriste. Ce programme met en valeur le génie créatif, l' "estro" de l'époque, son inventivité musicale et technique, en combinant des pièces célèbres avec des pièces inédites. Le pianoforte Cristofori y fait également une apparition : le cardinal Ottoboni en possédait un.
